Il y a quelques années, lorsque j'ai entrepris la réfection de mes massifs, j'ai pris la décision de ne planter que des plantes qui se plairaient dans la terre crayeuse, caillouteuse, pauvre et
drainante du jardin et de laisser les "mauvaises herbes" dans les allées pour m'éviter les corvées de desherbages et de soins.
De même, j'ai banni tout traitement insecticide, chargant les prédateurs naturels de faire le boulot à ma place.
Avec le recul, je constate que ce système marche à la perfection et j'ai découvert il y a peu que je suis une jardinière bio !
Eloge de la paresse
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